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Rein – uretère

Rein – uretère
23 février 2018admin69Pathologie
  • Rein-uretère
  1. Calcul
    Il s’agit presque d’un problème de santé publique puisque l’on estime que 10 à 15 % des français présentent des lithiases rénales. Ce chiffre est en constante augmentation dans les pays industrialisés.Les facteurs de risque de calculs sont nombreux :
  • Alimentaires (excès de sel, protéines, produits laitiers, sucres, chocolat, thé, manque d’hydratation…)
  • Familiaux : on en retrouve chez 40% des gens présentant des calculs
  • Anomalies anatomiques (malformation)
  • Anomalies métaboliques (hyperparathyroïdie…)
  • Médicaments (notamment les traitements anti-VIH)

 

 

  1. La plupart des calculs sont composés de Calcium  (>75%).Une fois constitué, un calcul ne disparaitra pas spontanément. Dans le rein il sera volontiers peu symptomatique mais pourra être à l’origine de douleur ou d’hématurie.S’il s’engage dans l’uretère, il sera à l’origine d’une colique néphrétique qu’il conviendra de traiter en urgence. Il faudra ensuite prendre en charge la lithiase et viendra enfin la prévention « secondaire » (= limiter le risque de récidive).L’examen de référence à réaliser est un scanner sans injection (mais parfois une simple échographie peut suffire)
    1. Colique néphrétique

     

    Cf. urgences colique néphrétique (lien vers colique néphrétique)

     

     

    1. Prise en charge de la lithiase

     

    En l’absence d’expulsion spontanée du calcul un traitement chirurgical sera indiqué. Il sera fonction de la taille, de la position et de la composition du calcul.

    • Urétéroscopie

    Elle permet de traiter les calculs enclavés dans l’uretère et dans le rein.

    Réalisée au bloc opératoire sous anesthésie générale elle consiste à introduire, par les voies naturelles (urètre), une caméra dans l’uretère parfois jusque dans le rein. A l’aide d’une fibre laser votre urologue fragmentera votre lithiase et  retirera les fragments à l’aide d’un lasso.

    L’intervention peut nécessiter la mise en place d’une sonde JJ.

    Le geste se réalise classiquement en ambulatoire (sortie le jour même de l’intervention)

    Pour en savoir plus https://www.urofrance.org/sites/default/files/fileadmin/documents/data/FI/2010/FI-2010-00040001-4/TEXF-FI-2010-00040001-4_0.pdf

     

    • NLPC (Nephro-Lithotomie-Per-Cutanée)

    Réservée aux calculs rénaux les plus volumineux (> 2-3 cm). Le principe est le même que pour l’urétéroscopie (laser et récupération des fragments) mais cette fois un « tunnel » est directement crée entre la peau et le rein (au niveau lombaire) afin de permettre l’introduction des instruments. Le geste est plus invasif mais permet de traiter plus rapidement et souvent en une seul fois,  les VOLUMINEUX calculs.

    Ce geste nécessite une hospitalisation de 2-3 jours en l’absence  de complication.

    Pour en savoir plus https://www.urofrance.org/sites/default/files/fileadmin/documents/data/FI/2010/FI-2010-00040001-2/TEXF-FI-2010-00040001-2_0.pdf

     

    • LEC (Lithotripsie-Extra-Corporelle)

    Classiquement réservée aux calculs des reins (et non de l’uretère) et réalisé en ambulatoire. Le principe est de fragmenter la lithiase à l’aide d’une source externe d’ultrasons. Le patient évacuera ainsi micro fragments et sable. Peu invasif, son efficacité n’est pas constante et la complication classique est la colique néphrétique par migration d’un fragment dans l’uretère. Une sonde JJ peut être nécessaire au préalable.

    Ce geste impose la visualisation parfaite du calcul sur une radio simple (environ la moitié des cas) et l’absence de traitement anticoagulant.

    Pour en savoir plus https://www.urofrance.org/sites/default/files/fileadmin/documents/data/FI/2010/FI-2010-00040001-1/TEXF-FI-2010-00040001-1_0.pdf

     

     

    1. Prévention secondaire

    On estime le risque de récidive de nouveau calcul à 50%. Il est donc indispensable A DISTANCE de rechercher un facteur favorisant à la formation de ces calculs.

    La plupart du temps il s’agit d’erreur diététique. Gardez en mémoire qu’il faut maintenir une bonne hydratation régulière (2L d’urines environ par jour), limiter les apports de sel, de protéines (viande et poisson) à 150 g par jour, et de consommer avec modération les produits laitiers. Attention toutefois à consommer 2 à 3 portions de produits laitiers par jour. Vous Trouverez ici un document résumant les règles diététiques idéales pour prévenir le risque de calcul.

    Dans certains cas votre urologue vous proposera un bilan métabolique (analyses d’urines des 24h, prise de sang…) à la recherche d’erreur diététique ou de désordre métabolique.

    Pour en savoir plus sur la diététique et les calculs :

    https://www.urofrance.org/sites/default/files/fileadmin/documents/data/FI/2010/FI-2010-00040001-5/TEXF-FI-2010-00040001-5_0.pdf

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